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DOTCHOT lutte contre la pollution textile

DOTCHOT lutte contre la pollution textile

A première vue, nous savons tous que la production de l’Homme a un fort impact sur l’environnement. En effet la production de l’Homme dans les nombreuses industries existantes pollue énormément. A tel point que ces dernières années nous avons pu relever d’inquiétants signes de dégradation de notre environnement. Ici nous parlons de réchauffement climatique, hausse des déchets, usage d’énergies fossiles etc. C’est pourquoi des mesures sont prises afin de réduire cet impact négatif que la production intensive a sur la planète. Cependant saviez-vous que parmi toutes ces industries, il y en a une un peu plus inquiétantes que les autres ?

Il s’agit de l’industrie du textile qui concerne l’ensemble de la planète et qui pollue de plus en plus chaque année. A l’époque actuelle, l’ensemble de la planète a accès à un immense choix de produits textile. Notamment grâce à internet et à la mondialisation qui poussent les fabricants de vêtements à accélérer leur production.

Bien que de nombreux secteurs soient en pleine transition afin de réduire la pollution qu’ils génèrent, ce n’est pas le cas de tous. Notamment concernant l’industrie textile qui observe une demande croissante passant de 62 millions de tonnes à 102 millions de tonnes en 2030. Toutefois certains acteurs de ce marché ont pris en compte l’importance de leur métier sur l’environnement. C’est pourquoi des mesures ont été prises afin de réduire la pollution déversée par l’industrie du vêtement.

Ainsi  DOTCHOT, créateur de kimono lifestyle pour femme, a décidé d’agir. En effet DOTCHOT lutte contre la pollution textile. Dans cet article nous verrons plus en détail ce qu’est la pollution textile. Mais aussi comment DOTCHOT a fait pour réduire considérablement la pollution lié à la production de ses articles de haute couture.

Qu’est-ce que la pollution textile ?

Tout d’abord, afin de traiter de la pollution textile nous devons correctement la définir. Ainsi la pollution textile représente la quantité de déchet ou de matière polluante créée et rejetée dans la nature lors du processus de création d’un habit ou vêtement. Parmi les différentes substances rejetées lors de la création d’habit, nous pouvons recenser les émissions de Co². Mais aussi les textiles invendus qui se retrouvent éparpillés autour du globe. A l’heure actuelle, l’industrie textile est le deuxième secteur le plus polluant au monde. Pour information, le secteur le plus polluant est celui du pétrole.

Ensuite, nous pouvons distinguer les provenances des émissions de Co² et de déchets physiques. En premier lieu, les émissions de Co² sont rejetées dans l’air à cause des usines qui produisent dans de grandes quantités. Notons que partout autour du globe nous pouvons retrouver ces usines qui fonctionnent 24h/24 afin de produire des quantités astronomiques de vêtements.

Dans l’état actuel des choses, ces usines fonctionnent grâce à des machines qui produisent continuellement des pièces de textile. De ce fait, ces machines ont besoin d’énergie afin de fonctionner. C’est pourquoi des quantités phénoménales de carburants fossiles sont utilisées afin de permettre la production faisable. En deuxième lieu, des produits chimiques et produits finis sont déversés dans la nature. Il s’ensuit que des centaines de milliers d’animaux meurt après avoir ingéré certains de ces produits. Ces produits chimiques sont utilisés lors du processus de création des habits. Par exemple, pour donner une teinte spéciale ou bien pour la création de la matière dans laquelle est faite l’habit. Enfin lorsque l’offre est plus importante que la demande, les entreprises préfèrent se débarrasser des invendus au lieu de les stocker. Car dans certains cas, la gestion des stocks coute bien plus cher que de simplement s’en débarrasser.

 

Quelles sont les retombées sur la planète ?

Vous n’êtes pas sans douter, les retombées de la pollution textile sur la planète sont désolantes. Concernant les émissions de Co², les estimations confirment que l’industrie textile est responsable d’entre 3 et 10% des émissions de Co2 mondiales soit près de 1.2 milliards de tonnes équivalente Co².

Dans les circonstances actuelles, les rejets de gaz à effet de serre deviennent dangereux pour le développement de la nature et nocif pour l’homme. C’est-à-dire qu’une trop grande quantité de dioxyde de carbone favorise le phénomène de réchauffement climatique. Ce dernier entrainant de multiples dérèglements naturels à l’origine de catastrophes telles que l’extinctions d’espèces animalières. Mais également de catastrophes naturelles comme la fonte des glaces ou bien la montée des eaux qui vient déloger certaines populations.

Face à ces dérèglements naturel de grande ampleur, les populations en danger migrent dans d’autres régions du monde. Sans tarder, ces peuples migrent vers d’autres pays non préparés à leur arrivée. C’est ainsi qu’il s’en suit des dérèglements économiques et démographiques qui ne cessent de perturber l’équilibre des populations.

D’une façon générale, une zone polluée par les rejets de gaz à effet de serre et de produits finis dans la nature empêchent le développement de la vie. Notamment dans certaines régions du monde qui voient la qualité de leur air de plus en plus médiocre. Prenons pour exemple certaines régions du monde telle que l’Asie. Il n’est pas rare de voir d’immenses blocs de fumée recouvrir des villes entières à cause de la pollution. Il est question de développement de maladies liées à la respiration d’un air nocif. Mais également de dégradation de la nature à cause de produits non biodégradables qui ne disparaitront que dans plusieurs dizaines d’années minimum.

DOTCHOT s’engage dans la lutte contre la pollution textile

Afin de participer à l’effort collectif et à la protection de la nature, DOTCHOT lutte contre la pollution textile. Grâce à un mode de production différent, la marque favorise un travail de qualité artisanale et non-agressif pour l’environnement. En effet après avoir mesuré la gravité de la situation, DOTCHOT a choisi de modifier son mode de fonctionnement. L’aspect le plus important étant de réduire les émissions de gaz à effet de serre ainsi que la pollution des déchets dans la nature.

C’est pourquoi DOTCHOT optimise et régule son mode de production en minimisant les stocks sur certaines collections. Puis, en mettant en place une production en flux tendu avec une confection sur commande pour certains produits.

Les dirigeants de l’organisation sont très regardant de la qualité des kimonos qui sont produits dans leurs ateliers. La preuve c’est que leur produits sont cousus à la main pour réduire drastiquement les rejets de dioxyde de carbone produits par les machines. Ensuite en minimisant les stocks, l’entreprise réduit considérablement les chances de voir un de leurs produits dans la nature.

Voyons ensemble de quelle manière DOTCHOT contribue à la réduction de la pollution dans l’industrie textile.

Des tissus vegan

Pour commencer, DOTCHOT a décidé d’utiliser des tissus vegan pour la conception de ses kimonos. Qu’est ce que le tissu vegan ? Il s’agit d’un tissu composé à partir de fibres d’origine naturelle et non animale.  Autrement dit, ce sont des tissus créés à partir de fibres végétales.

A ce jour, des études ont prouvé que l’habillage vegan a un impact positif sur l’environnement. Car ces matières biologiques contribuent au développement général de l’agriculture sans pesticides. Comme par exemple pour le coton bio.

Aussi, l’usage des matières naturelles biodégradables comme le lin, le bambou et la jute est encouragée. Dans la mesure ou les tissus et matières d’origine naturelle sont privilégiés, les animaux sont eux épargnés. D’une façon générale, l’habillage vegan contribue à la préservation de la faune et de la flore.

Ensuite, il est conseillé d’avoir recours aux matières premières provenant de sa région. Effectivement, dans une démarche éco-responsable on préfèrera éviter de gâcher notre démarche en faisant voyager la marchandise à travers le monde. Cela reviendrait à polluer l’air avec les émissions de Co² rejetées par les moyens de transport.

Dans une démarche éco-responsable, DOTCHOT conçoit ses kimonos avec des tissus vegan. Leur origine naturelle contribue à la préservation d’un environnement sain. Jessica, dirigeante de la marque DOTCHOT prend à cœur de sélectionner elle-même ses matières premières.

Grâce à ses efforts, les kimonos confectionnés par la marque sont éco-responsables. Ainsi ils permettent de réduire les émissions de Co², le gaspillage d’eau potable et l’abattage d’animaux pour leur pelage.

 

Une production manuelle

Concernant la confection des kimonos, elle est également éco-responsable. Autrement dit, DOTCHOT confectionne ses kimonos à la main par des couturiers professionnels et en apprentissage.

En effet pour éviter l’usage de machines polluantes et la création de stocks inutiles, DOTCHOT produit ses kimonos lifestyle manuellement. De plus, les kimonos sont confectionnés dans des ateliers parisiens. Ainsi, toutes les pièces sont produites au même endroit pour éviter tout transports superflu.

Aussi, DOTCHOT privilégie la confection manuelle de ses kimonos car c’est un gage de meilleure qualité. En effet les coutures sont plus solides, les tissus sont plus légers et plus souples. De cette façon, un kimono DOTCHOT cousu à la main résistera mieux au temps qu’un produit manufacturé.

Pour ce qui est des couturiers, ils sont professionnels à travaillent en étroite collaboration avec la marque. Ils connaissent les produits et mesurent l’importance d’une finition détaillée. Aussi, DOTCHOT encourage l’apprentissage en autorisant le travail d’étudiants spécialisés dans la couture pour concevoir les pièces. Une fois de plus, DOTCHOT s’inscrit dans une démarche de bienveillance générale et de respect de la nature. C’est pourquoi les kimonos DOTCHOT sont si uniques, ils naissent tous d’un long travail résultant d’une démarche en accord avec l’environnement et d’un développement économique sain.

Découvrez les kimonos DOTCHOT

Pour conclure, en France on observe une population vegan d’environ 0.5% soit environ 340 000 personnes. Toutefois, les études effectuées par Xerfi démontrent une population de flexitariens d’environ 23 millions de personnes soit un tiers de la population Française. Autrement dit, plus d’un tiers de la population Française prend en compte ces nouvelles problématiques éco-responsable émergentes.  Cependant on ressence encore trop peu de personnes acceptant de franchir le pas de l’habillage vegan. C’est pourquoi DOTCHOT présente à sa clientèle des kimonos somptueux résultant d’un travail soucieux de l’environnement.

Ainsi DOTCHOT lutte contre la pollution textile en vous proposant de découvrir 4 gammes de kimonos conçus à la main avec des tissus éco-responsable dans des ateliers Parisiens.

La gamme kimono court, plus ajustée pour une coupe près du corps. Ensuite il y a la gamme kimono long, pour vous donner une allure élancée et élégante. Puis la gamme kimono unisex, aux couleurs pour lui et pour elle. Enfin la gamme kimono vintage aux teintes originales pleines de couleurs et de vie.

Ces gammes de kimonos ont toutes leurs particularités en termes de style, pour une seule et même qualité supérieur. Vous pouvez commander votre pièce via le site www.dotchot.fr. Aussi vous pouvez consulter notre lookbook. Vous pourrez découvrir nos shooting photos présentant nos produits dans des décors tout à fait splendides. Enfin, vous pouvez nous rejoindre sur les réseaux sociaux pour être tenus informés des dernières nouveautés de la marque DOTCHOT.

Vous pouvez également rejoindre nos réseaux sociaux Facebook, Instagram et Pinterest. Nous tenons à jour nos réseaux sociaux quotidiennement. Aussi vous pourrez y découvrir nos nouveautés en avant-première. Mais également des idées de tenues à porter avec votre pièce DOTCHOT.

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